Actualités de l’investisseur
PLUIE DE MAI REND LES MARCHES GAIS
Les marchés ont évolué en ordre dispersé mais le mois de mai marque un retour dans le vert des principaux indices. La publication des résultats du géant américain des puces dédiées à l’IA, Nvidia, a une nouvelle fois surpris les marchés en dressant un tableau prévisionnel encore supérieur aux attentes. Avec un tel poids dans les indices américains, sa performance a porté les indices. Cependant le reste de la cote s’est inquiété de la trajectoire de la politique monétaire. Tandis que le CAC 40 s’est stabilisé à + 0,1 % sur le mois, le STOXX Europe 600 progresse de 2,6 % et le S&P 500 gagne 4,8 % en euro.Les marchés ont évolué en ordre dispersé mais le mois de mai marque un retour dans le vert des principaux indices. La publication des résultats du géant américain des puces dédiées à l’IA, Nvidia, a une nouvelle fois surpris les marchés en dressant un tableau prévisionnel encore supérieur aux attentes. Avec un tel poids dans les indices américains, sa performance a porté les indices. Cependant le reste de la cote s’est inquiété de la trajectoire de la politique monétaire. Tandis que le CAC 40 s’est stabilisé à + 0,1 % sur le mois, le STOXX Europe 600 progresse de 2,6 % et le S&P 500 gagne 4,8 % en euro.
LES MARCHÉS SE DÉCOUVRENT D’UN FIL
Si, statistiquement, le mois d’avril est connu pour être un mois boursier favorable, ce millésime aura fait exception. Face au report des espoirs de baisse de taux aux Etats-Unis, le scénario consensuel a été mis à mal, pesant sur des indices boursiers qui avaient besoin de souffler après une séquence exceptionnelle. En contre-coup, les publications des résultats toujours dynamiques des géants de la cote ont fait office d’amortisseurs. Le STOXX Europe 600 limite son recul mensuel à 1,5 % tandis que son homologue américain, le S&P 500, accuse en euros une baisse de 3,1 %.
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PAS DE GIBOULÉES EN MARS
Si les marchés ont parfois semblé hésitants en début d’année, le premier trimestre clôt en suivant le chemin d’un rallye déjà entamé en 2023. En hausse de 3,5 % en mars, la bourse de Paris progresse de 8,8 % sur le trimestre. De l’autre côté de l’Atlantique, le S&P 500 gagne quant à lui 3,1 % sur le mois pour terminer le trimestre en hausse de 12,9 % en euros.
L’IA POUR TOUS ET TOUS POUR NVID’IA
Portés par des publications de résultats encourageantes, les marchés continuent sur leur dynamique et signent un quatrième mois consécutif de hausse. Les perspectives de l’IA portent de nombreuses entreprises à l’image de Nvidia le fabriquant des processeurs utilisés pour alimenter l’Intelligence Artificielle qui confirme son statut de star. Elles font vibrer la côte américaine, et retentissent également sur les semi-conducteurs cotés sur les bourses européennes comme ASML. En parallèle, la place parisienne
frôle les 8 000 points dans le sillage de solides publications. En février, le S&P 500 progresse de 5,6 % en euros, devant le CAC 40 en hausse de 3,5 %.
NOUVELLE ANNÉE, NOUVEAUX RECORDS
Les premiers jours de 2024 ont vu les marchés marquer le pas. Une consolidation pouvait être envisagée après le rallye historique de fin d’année. Trouvant son origine dans la matérialisation d’un scenario idéal pour les investisseurs avec une économie américaine qui ralentit mais reste porteuse, et d’une inflation en fort recul qui permettra aux banques centrales de baisser la pression sur les taux directeurs, cette consolidation n’a duré que quelques séances et l’optimisme des investisseurs s’est traduit en performances avec une hausse de 3,6 % de l’indice large américain S&P 500 et de 1,4 % de l’indice européen Stoxx 600.
LA RESERVE FEDERALE OFFRE UN RALLYE GENERALISÉ AUX INVESTISSEURS
Alors qu’en toile de fond, les problématiques du commerce mondial et les tensions géopolitiques subsistent, les marchés terminent l’année 2023 sur un nouveau rallye qui touche à la fois les marchés actions et les marchés obligataires. Face au reflux de l’inflation et aux perspectives de baisse de taux, les investisseurs ont privilégié la thématique de l’assouplissement monétaire. La Bourse de Paris termine l’année en hausse de 16,5 %, soit l‘une de ses meilleures performances sur les dix dernières années.
Les marchés ne font pas de promotions
Alors que les derniers mois ont été synonymes de consolidation, les investisseurs laissent enfin déborder leur optimisme sur fond d’espoir de « soft landing », ainsi que d’un rapide retour des banques centrales à une politique de taux moins restrictive. Dans ce contexte, les indices mondiaux progressent. De même, les taux à 10 ans refluent et permettent un rebond significatif des obligations.
Octobre gris foncé
Tandis que le conflit russo-ukrainien perdure, les investisseurs restent attentifs au risque d’escalade du conflit au Moyen-Orient sans pour autant qu’il n’ait un impact significatif sur les marchés financiers. La prudence a été de mise ce mois-ci, avec des séances évoluant en ordre dispersé. La bourse de Paris clôture en baisse de 3,5 %, à l’instar du S&P 500 qui recule quant à lui de 2,2 % en devise comparable.
La rentrée des marchés
Si le mois de septembre est généralement connu pour être volatil, cette rentrée n’aura malheureusement pas fait exception, animés par les banquiers centraux et les nouveaux sommets atteints par le pétrole. La bourse de Paris s’inscrit en recul de 2,5 %, à l’instar du S&P 500 qui abandonne le même terrain en euros.
Pas de répit au mois d’août
Si les indices boursiers ont été portés par la bonne santé des entreprises au premier semestre, les investisseurs montrent désormais plus de fébrilité. Au long combat de lutte contre l’inflation sont venues s’ajouter les craintes quant à la santé économique de la Chine, et la persistance des tensions géopolitiques. La bourse de Paris s’inscrit en recul de – 2,4 % sur le mois.
Des marchés ensoleillés, avec quelques nuages
Les indices boursiers ont poursuivi leur progression au mois de juillet, portés par des résultats trimestriels globalement solides et l’espoir d’un atterrissage en douceur de l’économie américaine.
Avant la trêve estivale
Le premier semestre de l’année a vu les principales places boursières clôturer en hausse. Tandis que le NASDAQ est en avance sur ses confrères européens, le CAC 40 s’est démarqué face aux STOXX Europe 600 sur le mois de juin. La place parisienne a progressé de 4,2 %, devant son homologue européen qui signe une hausse de 2,2 %. Le S&P 500 s’inscrit quant à lui en hausse de 3,7 % en euros.
Faut-il suivre l’adage
Si les marchés financiers ont débuté l’année sur une note positive, les différents indices mondiaux ont évolué en ordre dispersé au mois de mai. Tandis que la Bourse de Paris recule de – 5,2 %, le S&P 500 progresse quant à lui de + 3,95 % en euros.
Les marchés se découvrent d’un fil
Alors que le brouillard du resserrement monétaire se dissipe peu à peu sur les marchés, les investisseurs continuent de composer avec un environnement incertain. Les principales places boursières terminent tout de même le mois d’avril en hausse.
Bank Run
L’agitation autour des banques régionales américaines et la contagion des turbulences aux banques européennes ont plus que rythmé les marchés. Sur fond d’inflation qui perdure et en recherche de visibilité, les différentes places boursières ont marqué le pas ce mois-ci.
Un an après le début de la guerre
L’optimisme du mois de janvier se poursuit en grande partie grâce à la dynamique de croissance des pays développés. Malgré le léger recul des pressions inflationnistes, le combat mené par les banques centrales semble toutefois loin de son terme. En parallèle, le spectre d’une « guerre froide » refait son apparition.
2023 démarre en fanfare
Alors que le mois de décembre s’est inscrit en recul, l’année 2023 démarre quant à elle sur fond d’optimisme avec une progression généralisée des marchés actions. Le STOXX Europe 600 progresse de + 6,67 % sur le mois tandis que le S&P 500 s’inscrit quant à lui en hausse de + 4,67 % en euro. Si la route est encore longue pour atteindre la cible des 2 % d’inflation, la confiance des investisseurs quant à la vitesse de sa rechute semble avoir lancé un vent d’optimisme.
Montségur finalise l’acquisition de la société de gestion SEPIAM.
Montségur renforce sa capacité à investir dans des petites entreprises européennes de croissance.
Pas de cadeaux pour les marchés
Les marchés auront clôturé 2022 dans le rouge. La Bourse de Paris a signé sa pire performance annuelle depuis quatre ans, et la majorité des indices a accusé un repli sous les effets des politiques monétaires et du conflit aux portes de l’Europe. Le mois de décembre n’aura quant à lui pas illustré l’habituel rallye de fin d’année.
Quand avril rime avec fébrile
Sur fond de publications de résultats des entreprises, les marchés financiers hésitent en ce début de trimestre entre appétit et aversion pour le risque. Tandis que les craintes vis-à-vis du ralentissement chinois s’amplifient, l’offensive russe en Ukraine semble désormais avoir pour objectif de s’emparer non seulement du Donbass mais aussi du sud du pays. Dans ce contexte volatil, les devises refuges, à l’instar du dollar, sont soutenues.